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Un film qui a choisi de ne pas « bien se comporter »
Les réactions à Joker : Folie à Deux n’ont pas tardé — et, souvent, elles étaient attendues. Le cadre musical a dérouté. Les glissements de ton ont déstabilisé. Le film n’a pas suivi les règles implicites d’une suite. Mais ce qui semblait dissonant en surface révélait, en profondeur, tout autre chose.
Ce n’était pas un film musical au service du personnage, mais une mise en scène du rythme comme mécanisme de survie. La performance devenait structure. Dans ce chaos apparent, il ne s’effondrait pas — il construisait sa propre logique. Là où le monde extérieur voyait du désordre, son esprit, lui, conservait une cohérence. Ça tenait. Ça avait forme.
Ce qu’on observe ici n’est pas seulement de la psychose — c’est une architecture intérieure. Une logique privée qui prend forme au cœur de l’effondrement. Et bien que délirante, cette trame reste une forme d’autorialité — un écho sombre de ce que vivent tant d’artistes qui créent à partir de la tension. Non pas pour expliquer la douleur, mais pour la contenir. Pour traverser. Pour donner forme à ce qui échappe.
Il ne s’apitoie pas. Il ne réclame pas qu’on le comprenne. Il canalise le chaos — en rythme, en expression, en illusion, oui — mais surtout en mouvement.
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Un film qui a choisi de ne pas « bien se comporter »
Les réactions à Joker : Folie à Deux n’ont pas tardé — et, souvent, elles étaient attendues. Le cadre musical a dérouté. Les glissements de ton ont déstabilisé. Le film n’a pas suivi les règles implicites d’une suite. Mais ce qui semblait dissonant en surface révélait, en profondeur, tout autre chose.
Ce n’était pas un film musical au service du personnage, mais une mise en scène du rythme comme mécanisme de survie. La performance devenait structure. Dans ce chaos apparent, il ne s’effondrait pas — il construisait sa propre logique. Là où le monde extérieur voyait du désordre, son esprit, lui, conservait une cohérence. Ça tenait. Ça avait forme.
Ce qu’on observe ici n’est pas seulement de la psychose — c’est une architecture intérieure. Une logique privée qui prend forme au cœur de l’effondrement. Et bien que délirante, cette trame reste une forme d’autorialité — un écho sombre de ce que vivent tant d’artistes qui créent à partir de la tension. Non pas pour expliquer la douleur, mais pour la contenir. Pour traverser. Pour donner forme à ce qui échappe.
Il ne s’apitoie pas. Il ne réclame pas qu’on le comprenne. Il canalise le chaos — en rythme, en expression, en illusion, oui — mais surtout en mouvement.
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Un film qui a choisi de ne pas « bien se comporter »
Les réactions à Joker : Folie à Deux n’ont pas tardé — et, souvent, elles étaient attendues. Le cadre musical a dérouté. Les glissements de ton ont déstabilisé. Le film n’a pas suivi les règles implicites d’une suite. Mais ce qui semblait dissonant en surface révélait, en profondeur, tout autre chose.
Ce n’était pas un film musical au service du personnage, mais une mise en scène du rythme comme mécanisme de survie. La performance devenait structure. Dans ce chaos apparent, il ne s’effondrait pas — il construisait sa propre logique. Là où le monde extérieur voyait du désordre, son esprit, lui, conservait une cohérence. Ça tenait. Ça avait forme.
Ce qu’on observe ici n’est pas seulement de la psychose — c’est une architecture intérieure. Une logique privée qui prend forme au cœur de l’effondrement. Et bien que délirante, cette trame reste une forme d’autorialité — un écho sombre de ce que vivent tant d’artistes qui créent à partir de la tension. Non pas pour expliquer la douleur, mais pour la contenir. Pour traverser. Pour donner forme à ce qui échappe.
Il ne s’apitoie pas. Il ne réclame pas qu’on le comprenne. Il canalise le chaos — en rythme, en expression, en illusion, oui — mais surtout en mouvement.